2ème édition pour ce trail avec 2 parcours, 14 et 7.5 km. C’est sur les bons souvenirs de Phil et Alex que je suis venu le faire et y représenter le JCP, présent aussi en Isère et dans les Bouches du Rhône. Pas mal de monde et je constate qu’il y a de plus en plus de jeunes gazelles et antilopes sur les trails et elles amènent souvent une gaieté et l’on ressent une certaine passion pour la course à pied. Il en est de même au JCP et j’en suis ravi.
Quant au parcours, j’avais édité une carte l’an dernier, alors j’ai essayé de la mémoriser, en vain (A part l’altitude minimum de 100 m et la maxi de 380 m). Sami, que je croise au lors du retrait des dossards m’annonce en gros le profil. Bon à savoir car je sens que ce n’est pas la grande forme. Les parties de mon corps sont bien connectées mais j’ai la tête des jours mal réveillés. Ouf, Phil n’est pas là pour me faire la réflexion. Il est à la rando course organisé par Sylvain à Crozes.
Allons y pour ce 14 km et la découverte de parcours avec peut-être des chemins que je ferais ultérieurement en randonnée avec ma carte et une partie de mes neurones. Les deux courses partent en même temps, à 9h30 heure d’hiver, nous avons pu récupérer 1 heure de sommeil pour être plus en forme. On commence par 2 kilomètres de montées plus ou moins douce sur route, puis que du chemin sous forme de large sente, monosente par endroit. Nous alternerons montée puis descente et de mémoire le parcours est en dent de scie. Au 4ème kilomètre, séparation des 2 courses et c’est parti par une bonne alternante de montées et descentes plus ou moins roulantes le plus souvent en sous-bois, donc j’ai peu de repère visuel. Il y a beaucoup de personnes aux endroits stratégiques dont le fils de Stéphane Serre que je salue. Le fléchage est bien fait, quelques racines ''dangereuses'' sont bien signalées pour éviter les chutes.
Au 7ème kilomètre le ravito est le bienvenu car nous allons attaquer la partie ardue du trail. Un bénévole me dit de repérer le relais téléphonique à la sortie du sous-bois car le parcours y passe après les 2 kilomètres de bonne montée. Je l’aperçois et en regardant mon altimètre et la forme du massif, je me dis qu’il est bien plus haut que la maximale du parcours ainsi que la distance pour y accéder. Mais c’était une blague me réponds un bénévole à une bifurcation. Vous êtes au point le plus haut, il vous reste 4.5 kilomètre de descente. Hélas je serai vite désappointé car d’abord le chemin est en balcon et en dévers sur 400 mètres, puis de nouveau une courte mais forte montée ou je lis 390 mètres à ma montre. Là je sais que nous sommes au plus haut. La bonne descente bien roulante sur 2 km annoncé, ce n’est que maintenant.
11.5 km, 2ème ravito et le dernier verre de coca qui m’est réservé car je suis le dernier. Le parcours recommence à descendre et voilà une bénévole au look 70’s avec des lunettes carrées et gros rouge à lèvres qui me dit avec un grand sourire, encore une montée de 200 mètres puis sera que de la descente ; oui mais quelle descente, pentue avec pas mal de grosses pierres. Trop lourd pour les effleurer, et pas assez rapide pour toutes les éviter. J’entrevoie la ville, j’ai bien encore 100 m de D- à faire. C’est le chrono qui va s’affoler, moi qui voulait être en dessous des 2 heures. Je la trouve interminable cette dernière descente. Seule bonne nouvelles, les hectomètres s’accumulent.
13ème kilomètre. La ville et ses premières maisons sont là. Enfin un peu de bitume, c’est plus roulant pour moi. Oui mais voilà de larges marches qui cassent bien dans la descente. Il me reste 400 mètres, mais il faut traverser une ravine sur des pierres plates. Encouragements des derniers bénévoles. Voilà l’arche, c’est la fin Ouf, les applaudissements.
Voilà je viens de découvrir et terminer cette seconde édition qui je l’espère, va perdurer. Ce fut très agréable comme la météo et que du plaisir. Juste le temps d’aller se restaurer, de prendre la photo avec Georges et de profiter de cette fin d’après-midi pour un bon repos.
Je tiens à remercier l’organisation, tous les bénévoles et au serre file pour leurs encouragements et leurs disponibilité, et un grand bravo à tous les coureurs du JCP qui ont chaussé leurs baskets en ce beau dimanche d’octobre 2015.
J’en profite aussi pour souhaiter un bon anniversaire (avec un jour de retard sur le blog) à Thierry car c’est bien le 25 octobre qu’il est né.
Quant au parcours, j’avais édité une carte l’an dernier, alors j’ai essayé de la mémoriser, en vain (A part l’altitude minimum de 100 m et la maxi de 380 m). Sami, que je croise au lors du retrait des dossards m’annonce en gros le profil. Bon à savoir car je sens que ce n’est pas la grande forme. Les parties de mon corps sont bien connectées mais j’ai la tête des jours mal réveillés. Ouf, Phil n’est pas là pour me faire la réflexion. Il est à la rando course organisé par Sylvain à Crozes.
Allons y pour ce 14 km et la découverte de parcours avec peut-être des chemins que je ferais ultérieurement en randonnée avec ma carte et une partie de mes neurones. Les deux courses partent en même temps, à 9h30 heure d’hiver, nous avons pu récupérer 1 heure de sommeil pour être plus en forme. On commence par 2 kilomètres de montées plus ou moins douce sur route, puis que du chemin sous forme de large sente, monosente par endroit. Nous alternerons montée puis descente et de mémoire le parcours est en dent de scie. Au 4ème kilomètre, séparation des 2 courses et c’est parti par une bonne alternante de montées et descentes plus ou moins roulantes le plus souvent en sous-bois, donc j’ai peu de repère visuel. Il y a beaucoup de personnes aux endroits stratégiques dont le fils de Stéphane Serre que je salue. Le fléchage est bien fait, quelques racines ''dangereuses'' sont bien signalées pour éviter les chutes.
Au 7ème kilomètre le ravito est le bienvenu car nous allons attaquer la partie ardue du trail. Un bénévole me dit de repérer le relais téléphonique à la sortie du sous-bois car le parcours y passe après les 2 kilomètres de bonne montée. Je l’aperçois et en regardant mon altimètre et la forme du massif, je me dis qu’il est bien plus haut que la maximale du parcours ainsi que la distance pour y accéder. Mais c’était une blague me réponds un bénévole à une bifurcation. Vous êtes au point le plus haut, il vous reste 4.5 kilomètre de descente. Hélas je serai vite désappointé car d’abord le chemin est en balcon et en dévers sur 400 mètres, puis de nouveau une courte mais forte montée ou je lis 390 mètres à ma montre. Là je sais que nous sommes au plus haut. La bonne descente bien roulante sur 2 km annoncé, ce n’est que maintenant.
11.5 km, 2ème ravito et le dernier verre de coca qui m’est réservé car je suis le dernier. Le parcours recommence à descendre et voilà une bénévole au look 70’s avec des lunettes carrées et gros rouge à lèvres qui me dit avec un grand sourire, encore une montée de 200 mètres puis sera que de la descente ; oui mais quelle descente, pentue avec pas mal de grosses pierres. Trop lourd pour les effleurer, et pas assez rapide pour toutes les éviter. J’entrevoie la ville, j’ai bien encore 100 m de D- à faire. C’est le chrono qui va s’affoler, moi qui voulait être en dessous des 2 heures. Je la trouve interminable cette dernière descente. Seule bonne nouvelles, les hectomètres s’accumulent.
13ème kilomètre. La ville et ses premières maisons sont là. Enfin un peu de bitume, c’est plus roulant pour moi. Oui mais voilà de larges marches qui cassent bien dans la descente. Il me reste 400 mètres, mais il faut traverser une ravine sur des pierres plates. Encouragements des derniers bénévoles. Voilà l’arche, c’est la fin Ouf, les applaudissements.
Voilà je viens de découvrir et terminer cette seconde édition qui je l’espère, va perdurer. Ce fut très agréable comme la météo et que du plaisir. Juste le temps d’aller se restaurer, de prendre la photo avec Georges et de profiter de cette fin d’après-midi pour un bon repos.
J’en profite aussi pour souhaiter un bon anniversaire (avec un jour de retard sur le blog) à Thierry car c’est bien le 25 octobre qu’il est né.
Robert
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