Jeudi 22 août
Un réveil un peu plus tardif (6h30), car aujourd'hui nous effectuons une étape de récupération, pour arriver relax demain à Santiago.
Le temps est couvert aujourd'hui, pas de levé de soleil.
Le parcours traverse les hameaux, tout en vallon.
Une succession de montées et descentes, pas très élevées, mais qui sollicitent beaucoup les cuisses et les mollets, en courant ou avec Léon (c'est pour voir ceux qui suivent...).
Nous traversons à nouveau des forêts millénaires, composées de chênes qui nous forment ces impressions de tunnels digne des forêts de Brocéliande, mais aussi d'eucalyptus et leurs odeurs enivrantes...
Les hortensias bleus et blancs bordent les chemins, notamment à l'entrée des hameaux. De larges et hautes lauzes délimitent les parcelles des rares habitations. Les pommiers sauvages s'imposent au milieu des près et les figuiers surplombent les routes de campagne.
Cela serait paradisiaque, si nous n'étions pas des dizaines à se suivre.
Heureusement que non ! nous ne suivons pas, nous doublons, sans arrêt... Sous le regard des gens surpris.
Le décompte des km est rythmé par des bornes à coquille.
Notre étape, O Pedrouzo, se situe à la borne 20.
Petite ville toute en longueur, sans attrait particulier, ville dortoir et qui surprend par son affluence de pèlerins en tout genre, certains cheminent de très très loin, d'autres, de quelques dizaines de km ...
L'ultime étape, c'est pour demain.
Cette aventure initiée voici deux ans avec notre coéquipière Sylvie touche à sa fin. Pourtant nous savions que l'essentiel n'est pas la destination mais "le Chemin"en lui même.
Un réveil un peu plus tardif (6h30), car aujourd'hui nous effectuons une étape de récupération, pour arriver relax demain à Santiago.
Le temps est couvert aujourd'hui, pas de levé de soleil.
Le parcours traverse les hameaux, tout en vallon.
Une succession de montées et descentes, pas très élevées, mais qui sollicitent beaucoup les cuisses et les mollets, en courant ou avec Léon (c'est pour voir ceux qui suivent...).
Nous traversons à nouveau des forêts millénaires, composées de chênes qui nous forment ces impressions de tunnels digne des forêts de Brocéliande, mais aussi d'eucalyptus et leurs odeurs enivrantes...
Les hortensias bleus et blancs bordent les chemins, notamment à l'entrée des hameaux. De larges et hautes lauzes délimitent les parcelles des rares habitations. Les pommiers sauvages s'imposent au milieu des près et les figuiers surplombent les routes de campagne.
Cela serait paradisiaque, si nous n'étions pas des dizaines à se suivre.
Heureusement que non ! nous ne suivons pas, nous doublons, sans arrêt... Sous le regard des gens surpris.
Le décompte des km est rythmé par des bornes à coquille.
Notre étape, O Pedrouzo, se situe à la borne 20.
Petite ville toute en longueur, sans attrait particulier, ville dortoir et qui surprend par son affluence de pèlerins en tout genre, certains cheminent de très très loin, d'autres, de quelques dizaines de km ...
L'ultime étape, c'est pour demain.
Cette aventure initiée voici deux ans avec notre coéquipière Sylvie touche à sa fin. Pourtant nous savions que l'essentiel n'est pas la destination mais "le Chemin"en lui même.
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| Chemins creux et tunnels végétaux |
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| Borne à coquille 30ème km |
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| Pèlerins de plus en plus nombreux |
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| Forêt de Galice |
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| Forêt d'eucalyptus |
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