Lundi 19 août
S'il y a un classement des étapes difficiles, celle ci sera sur la plus haute marche du podium (du moins, je l'espère...)
Départ tôt, nuit noire, brouillard et froid, nous sommes à 1350 m.
Nous suivons les repères jaunes à la frontale. La fatigue de ces dernières étapes, surtout celle de la veille, se fait sentir.
Ce qui ne nous empêchera pas d'admirer un éveil de la nature des petits matins, dans ces montagnes où les troupeaux de vaches tout aussi matinaux regagnent leurs prairies pour la journée.
Nous sommes spectateur de cette migration de pèlerins silencieux, alors que nos yeux s'habituent à l'obscurité.
Deux km de fort dénivelé nous réchauffent un peu, mais quelques douleurs se réveillent également.
Nous prenons notre premier café dans cette albergue au sommet et découvrons le jour qui se lève et les brumes qui ont du mal à se dissiper.
Le vrai ravitaillement se fera 8 km plus loin sur une terrasse ou nous apprécions la chaleur des premiers rayons.
Le panorama est splendide et cela nous aidera à progresser, car nous n'oublions pas que d'ici quelques temps, de retour dans nos vies actives, nous regretterons ces moments privilégiés de découverte.
Cette journée de 41 km, nous amène vers Sarria, petite ville que nous traverserons dans sa rue principale.
Nous devons maintenant nous reposer.
S'il y a un classement des étapes difficiles, celle ci sera sur la plus haute marche du podium (du moins, je l'espère...)
Départ tôt, nuit noire, brouillard et froid, nous sommes à 1350 m.
Nous suivons les repères jaunes à la frontale. La fatigue de ces dernières étapes, surtout celle de la veille, se fait sentir.
Ce qui ne nous empêchera pas d'admirer un éveil de la nature des petits matins, dans ces montagnes où les troupeaux de vaches tout aussi matinaux regagnent leurs prairies pour la journée.
Nous sommes spectateur de cette migration de pèlerins silencieux, alors que nos yeux s'habituent à l'obscurité.
Deux km de fort dénivelé nous réchauffent un peu, mais quelques douleurs se réveillent également.
Nous prenons notre premier café dans cette albergue au sommet et découvrons le jour qui se lève et les brumes qui ont du mal à se dissiper.
Le vrai ravitaillement se fera 8 km plus loin sur une terrasse ou nous apprécions la chaleur des premiers rayons.
Le panorama est splendide et cela nous aidera à progresser, car nous n'oublions pas que d'ici quelques temps, de retour dans nos vies actives, nous regretterons ces moments privilégiés de découverte.
Cette journée de 41 km, nous amène vers Sarria, petite ville que nous traverserons dans sa rue principale.
Nous devons maintenant nous reposer.
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| Le jour se lève |
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| On admire les petits matins des montagnes de Galice |
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| Les vaches rejoignent leurs prairies |
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| rencontre impressionnante |
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| Pèlerin et son companon de retour de Siantago |
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| Progression vers Sarria |
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